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Pour la Miviludes, les acteurs de la protection de l'enfance sont mal armés face aux risques sectaires

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Les néo-chamans et les nutritionnistes fantaisistes sont au coeur du rapport annuel de la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) rendu public le 7 avril par son président, Georges Fenech. Mais un thème intéressant directement les acteurs de la protection de l'enfance est également abordé cette année : la protection des mineurs face aux dérives sectaires. La Miviludes salue en premier lieu l'amélioration qu'a constituée la loi du 5 mars 2007 réformant la protection de l'enfance, en prévoyant des dispositions qui « jouent un rôle de nécessaires garde-fous face à des situations d'emprise sectaire impliquant des mineurs » : substitution de la notion de danger à celle de maltraitance qui était trop restrictive, limitation de l'instruction à domicile aux enfants d'une seule famille, affirmation du caractère primordial de l'intérêt de l'enfant, etc. En principe, la législation en vigueur permet ainsi de « circonscrire avec efficacité le phénomène sectaire lorsqu'il met des mineurs en danger ». Toutefois, estime la mission, « son application peut se révéler délicate s'agissant d'un phénomène difficile à repérer et à analyser, aussi bien…
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