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Rénovation urbaine : les quartiers changent mais pas la population

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Son ambition était de réhabiliter les quartiers dégradés tout en faisant évoluer leur composition sociale. Cinq ans après le lancement du programme national de rénovation urbaine (PNRU), l'heure est au bilan... et, pour le comité d'évaluation et de suivi (CES) de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine, il est loin d'être brillant, en particulier sur le terrain de la mixité sociale. Dans son rapport 2009, qu'elle a présenté à la presse le 2 avril (1), l'instance présidée par Yazid Sabeg constate en effet que les quartiers changent mais pas la population, à tel point que « les objectifs ambitieux de la mixité sociale ont souvent dû être revus à la baisse » (voir aussi la rubrique « Rencontre », ce numéro, page 34). Concrètement, trois processus mis en oeuvre dans le cadre des projets de rénovation urbaine pourraient faire varier la composition de la population des quartiers : la reconstitution hors site des logements sociaux démolis, « qui libère du foncier sur site pour construire notamment des logements non sociaux » ; le relogement en dehors du quartier des ménages habitant les logements sociaux démolis, « qui permettrait un brassage de la population » ; et la diversification…
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