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Les « incasables », « symptômes d'une société malade de sa peur d'éduquer »

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Pour les enfants « incasables », que les institutions se repassent comme des « patates chaudes », il est urgent que les personnels éducatifs fassent preuve de créativité et d'originalité. C'est ce que défend Armand de Soto, thérapeute et médiateur familial, auteur d'un récent ouvrage sur l'accompagnement de ces publics (1), qui définit ici une posture professionnelle adaptée à ces jeunes et les conditions optimales de l'action éducative menée auprès d'eux.
«Alors que la politique actuelle sur le traitement des mineurs délinquants chemine inexorablement vers la répression, alors que dans les discours on n'entend plus parler que de policiers, juges, procureurs et autres acteurs du barrage que l'on construit face à cette enfance en danger pourtant qualifiée de «dangereuse» pour la société, alors que l'opinion publique commence à se faire une raison sur le sort réservé à la délinquance juvénile, dans laquelle s'inscrirait l'enfant dit «incasable« (2), je me demande où sont passés les éducateurs, les animateurs, les psychologues et autres travailleurs sociaux. Relégués aux oubliettes d'un secteur qui n'a plus…
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