Gratification : les associations et les étudiants s'impatientent
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Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Par : ISABELLE SARAZINLecture : 4 min.
Face au silence de la direction générale de la cohésion sociale après la table ronde du 18 janvier sur l'alternance, les associations professionnelles et les étudiants dénoncent l'absence d'avancée sur la gratification et interpellent l'Etat. De leur côté, les centres de formation appellent à une mobilisation le 6 mai.
Plus de deux mois après la table ronde organisée par la direction générale de l'action sociale (devenue direction générale de la cohésion sociale) (1), les difficultés soulevées par la gratification des étudiants en travail social demeurent. « Nous avons pris acte qu'aucune avancée significative n'a été donnée à ce dossier. Sur le terrain, la situation des stagiaires s'est fortement dégradée en raison de l'extension des gratifications aux stages de deux mois et plus [contre trois mois auparavant] », constatent, dans un communiqué commun, les associations professionnelles (ANAS, ONES, FNEJE, France ESF) (2), auxquelles s'est joint le Collectif national d'étudiants en travail social (CNETS).Un droit détournéA l'appui de ce qu'elles avancent, les organisations font valoir les résultats de l'enquête qu'elles ont lancée fin décembre…
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