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Un modèle reconnu mais fragile

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Multi-partenariales et ouvertes sur la ville, les maisons des adolescents - dont les IVes journées nationales se sont achevées le 19 mars à Nantes - permettent une prise en charge globale des jeunes en souffrance. Pourtant, si leur déploiement sur le territoire est encouragé par l'Etat depuis 2004, elles doivent aujourd'hui, dans un contexte de réduction budgétaire, être en capacité d'évaluer leur action.
«L'adolescent, ni enfant, ni adulte, est longtemps resté le grand oublié des politiques publiques », estimait Dominique Versini, défenseure des enfants, dans une étude de 2007 intitulée Adolescents en souffrance, plaidoyer pour une véritable prise en charge (1). Pointant le nombre de décès par suicide de ces jeunes (plus de 600 par an), elle saluait la volonté de l'Etat de créer une maison des adolescents (MDA) par département, « l'une des décisions des plus novatrices et de plus grande ampleur en faveur des adolescents ». En effet, dès 2002, la défenseure des enfants de l'époque, Claire Brisset, avait préconisé, dans un rapport annexe (2), de généraliser ce type de structures, dont la première avait été ouverte au Havre (Seine-Maritime)…
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