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Financement des chantiers d'insertion : l'enjeu du « juste coût »

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Alors que se met en place l'expérimentation de l'aide au poste dans le cadre des ateliers et chantiers d'insertion, Eric Pliez, président de la commission « emploi formation » de la FNARS et directeur de l'association Aurore, met en garde contre les risques qu'il y aurait à sous-estimer le montant de ce nouveau mode de financement. Parmi eux, celui de laisser de côté les personnes les plus exclues.
«En fédérant un millier de structures de remise au travail dont environ 800 chantiers d'insertion, la FNARS (Fédération nationale des associations d'accueil et de réinsertion sociale) est un des acteurs majeurs de l'insertion par l'activité économique (IAE). Engagée dès le début des années 80 dans la dynamique des entreprises intermédiaires, membre cofondateur des groupements d'employeurs pour l'insertion et la qualification (GEIQ), la fédération privilégie le développement des ateliers et chantiers d'insertion (ACI) depuis plusieurs années. Pourquoi ? Parce que l'objectif maximum de 30 % de recettes «marchandes» laisse une place aux personnes les moins productives, celles pour qui il s'agit d'abord de recréer du lien social et du «savoir être»…
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