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Une étude relativise la portée des mesures prises face à la crise

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Une étude financée par l'Observatoire national de la pauvreté et de l'exclusion sociale (ONPES) dans le cadre de la préparation de son rapport annuel (1), qui devrait être bientôt rendu public, analyse la manière dont les politiques publiques ont abordé les effets sociaux de la crise. Son auteur, Michaël Zemmour, chercheur en économie à l'université Paris-I, note « un changement de discours sur la pauvreté », passé de l'objectif de la réduire - priorité gouvernementale de 2007 - à celui de limiter son extension. Au premier trimestre 2009, « une lecture générale des mesures annoncées ou mises en oeuvre à cette date donne le sentiment que les politiques de réduction de la pauvreté ont été décidées avant la crise (revenu de solidarité active, solutions d'hébergement d'urgence) et ont connu un «coup de pouce» au moyen du «plan de relance» », notamment avec la prime de solidarité active, explique-t-il. Mais les mesures décidées lors du sommet social de février 2009 ont plutôt eu pour objectif de protéger du basculement dans la pauvreté et d'éviter le déclassement des salariés en emploi (2). « Ce choix a sans doute été guidé d'une part par l'idée que ce qui était à faire pour les plus…
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