Les nombreuses réformes suscitent des craintes au sein des associations d'action sociale et médico-sociale. Si leurs inquiétudes sur les risques d'instrumentalisation ne sont pas nouvelles, leur alarmisme actuel est-il justifié ou excessif ?
Je pense qu'il est justifié, même s'il est sans doute excessif quand il prend la forme de récriminations ou de protestations véhémentes, qui parfois conduisent à de l'impuissance. Il y a, de fait, une sorte de réformisme exacerbé de la part de la puissance publique : les nouvelles législations et les réorganisations s'enchaînent à un rythme accéléré et entraînent des transformations qui ne sont guère propices à la stab
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