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Un plan de lutte contre la « fracture énergétique » est en préparation

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En France, le taux d'effort énergétique - c'est-à-dire la part des ressources consacrées par un ménage à ses dépenses d'énergie dans le logement - est passé de 10 % à 15 % pour les ménages modestes entre 2001 et 2006. Le taux d'effort est inégalement réparti selon les niveaux de ressources, « les ménages les plus précaires vivant dans les logements les moins performants ». C'est le constat formulé par Philippe Pelletier, président du comité stratégique du « Plan bâtiment » du Grenelle de l'environnement, dans un rapport qu'il a remis le 6 janvier (1) à Valérie Létard, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Ecologie et du Développement durable, et à Benoist Apparu, secrétaire d'Etat chargé du logement, et où il fait un certain nombre de propositions concrètes pour réduire la « fracture énergétique ». Ces propositions seront étudiées par le gouvernement « dans les prochaines semaines et dans le cadre d'un plan exceptionnel de lutte contre la précarité énergétique », ont assuré les secrétaires d'Etat. A défaut de définition précise de la précarité énergétique, l'auteur a recherché une approche permettant de circonscrire le phénomène. Pour lui, la précarité énergétique résulte de la…
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