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Sur fond de réforme, la CGT dénonce la « situation catastrophique » des travailleurs sociaux des SPIP

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La CGT pénitentiaire tire le signal d'alarme sur la situation du travail social en prison, alors qu'une réforme des services pénitentiaires d'insertion et de probation est engagée. Un projet qu'elle n'approuve pas, au contraire du Snepap-FSU, toujours en négociation sur le sujet.

Moins de 3 000 conseillers d'insertion et de probation (CIP) et assistants sociaux titulaires sont chargés du suivi de plus de 62 000 détenus et de 150 000 condamnés en « milieu ouvert ». C'est ce que souligne la CGT pénitentiaire, à l'heure où la chancellerie veut mettre l'accent sur l'objectif de prévention de la récidive, qu'elle assigne à la prison. Dans un texte du 20 décembre intitulé « L'inacceptable », l'organisation syndicale dresse « un état des lieux de la situation catastrophique des travailleurs sociaux qui interviennent en prison », à la fois confrontés à la surpopulation carcérale et au manque de personnels. Rares sont les établissements pénitentiaires, selon la CGT, où les CIP et assistants sociaux ont moins de 80 dossiers à suivre. Or, reprenant à son compte une recommandation de la Commission nationale consultative des

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