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Dans le rêve du maton

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A travers des personnages de femmes détenues et de surveillants, Andréa Castro met en scène le quotidien carcéral, sur un mode onirique.
Les onze danseuses du Fatal Club font leur show. Au programme de la revue, les chansons Les tueuses, de Juliette, Fais-moi mal, Johnny, de Boris Vian, et un air de Prévert et Kosma... Mais ces jeunes femmes n'existent que dans l'imagination de Léon Bridon, nouveau surveillant à la maison d'arrêt de la Sablière. Il s'agit en fait de onze détenues - une cascadeuse emprisonnée pour braquage, une bibliothécaire incarcérée pour trafic de drogue, une bouchère arrêtée pour homicide, une clandestine, une terroriste, etc. - auxquelles il tente de faire partager sa passion pour l'écriture et la sublimation de la réalité. Derrière les barreaux, ces femmes parlent de leur vie quotidienne et ennuyeuse, des parloirs, de la fouille des cellules, du mitard, de la promenade, des angoisses nocturnes... Elles n'ont qu'une chose en tête : s'évader. Habillés de blouses violettes et de collants rayés, et entourés de deux musiciens, les personnages de cette comédie musicale, tous interprétés par des comédiens amateurs, apportent…
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CULTURE

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