Les projets personnalisés encore minoritaires pour les malades d'Alzheimer
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Publié le : Dernière Mise à jour : 26.07.2017Lecture : 1 min.
«Etre atteint de la maladie d'Alzheimer ne fait pas de la personne un citoyen de seconde zone. » C'est en partant de cette affirmation que la Fondation Médéric-Alzheimer a lancé, début 2009, une enquête nationale relative aux droits de ces malades. 47 % des 5 690 établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes (EHPAD) accueillant des personnes atteintes ont répondu (1). Dans le numéro d'octobre de La Lettre de l'Observatoire, la fondation analyse les résultats liés à la thématique de l'entrée en EHPAD. Le premier contact (visite de la structure, voire participation à la vie de l'établissement avant l'entrée...) constitue un moyen pour les professionnels d'établir une relation avec la personne malade ou de l'aider à se familiariser avec son futur lieu de vie. 93 % des établissements déclarent préparer ainsi l'arrivée du résident. Mais seulement 48 % transmettent des informations sur le fonctionnement de la structure de manière adaptée aux capacités de compréhension de la personne, comme il est pourtant stipulé dans la « charte des droits et libertés de la personne accueillie » annexée au livret d'accueil. Corollaire du droit à l'information, le consentement libre et éclairé…
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