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Les maires de Ville et banlieue s'inquiètent de l'avenir de la politique de la ville

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Les banlieues ne semblent pas être une priorité pour le gouvernement, c'est du moins le sentiment de l'Association des maires Ville et banlieue de France. Celle-ci s'inquiète notamment de l'avenir de la politique de la ville alors que 8,3 millions d'habitants vivent dans les quartiers en difficulté et que le chômage des jeunes y est deux fois plus important que la moyenne nationale. En effet, la réunion du Comité interministériel des villes consacrée au suivi du plan « Espoir banlieues », prévue à l'origine « à l'automne », n'a cessé d'être différée. Sachant qu'en matière d'emploi « les résultats disponibles sont modestes... pour un coût qui ne l'est pas », estime l'association : sur les 45 000 contrats autonomie prévus d'ici fin 2011, 13 000 environ auraient été signés en octobre dernier (soit 29 % de l'objectif) dont 1 160 « sorties positives » vers un contrat à durée déterminée ou indéterminée, ou une formation. Et l'Etat aurait déboursé 34 millions d'euros (soit 29 000 € par emploi) pour les sociétés d'outplacement ou d'intérim recrutées pour l'occasion. L'association porte également un avis mitigé sur le volant « éducation » du plan : si des efforts ont été engagés, elle estime…
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