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Les assistants sociaux du travail fragilisés par les ambiguïtés du cadre législatif

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C'est malheureusement à la faveur d'événements dramatiques comme les nombreux suicides de salariés dans les entreprises que le rôle, souvent sous-estimé, du service social du travail apparaît sous un jour nouveau. A l'articulation de la vie au travail et hors travail et bien placé pour écouter la souffrance des salariés, il est en effet l'un des acteurs de la prévention des risques psychosociaux (1). Paradoxalement pourtant, alors que le besoin d'accompagnement des personnes dans les restructurations d'entreprises se fait de plus en plus pressant, la place des assistants de service social du travail est fragilisée par les ambiguïtés liées à la réécriture du code du travail. Coquille ou pas, celui-ci prévoit que le service social (organisé dans tout établissement employant au moins 250 salariés) est assuré par un conseiller du travail (2), sans ajouter, comme dans l'ancienne version, qu'à défaut, le service social est exercé par l'assistant de service social du travail. Cette omission pose problème défend l'ANAS (Association nationale des assistants de service social). En effet, alors que la profession d'assistant de service social du travail n'est ouverte qu'aux assistants de service…
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