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TARIFICATION À L'ACTIVITÉ ET PRÉCARITÉ. Les établissements de santé peuvent être tentés de refuser les patients en situation de précarité si le surcoût entraîné par cette précarité n'est pas financé, rappelle le Comité d'évaluation de la tarification à l'activité dans un récent rapport (disp. sur www.sante.gouv.fr). Toutefois, « ne sont pas précaires ceux que l'on croit ». La précarité ne se limite pas à l'insuffisance de revenus mais dépend aussi de l'isolement social, de la qualité du logement et de l'accès aux droits. Il est selon lui « nécessaire » d'approfondir « les études disponibles [qui] suggèrent que le surcoût global lié à la prise en charge de la précarité est limité ». Enfin, souligne-t-il, le financement ne règle pas tous les problèmes de prise en charge, ceux-ci découlant aussi du manque de structures d'aval (soins de suite, secteur médico-social). Il plaide donc pour un repérage des populations concernées « avant de consolider de nouvelles règles de financement de la précarité ».
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