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« LES MAIRES NE SONT PAS DES PÈRES FOUETTARD »

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Il n'est pas sûr qu'une charte déontologique, comme le prévoit le plan de prévention de la délinquance (voir ce numéro, pages 5 et 25), facilite l'échange d'informations entre le maire et les travailleurs sociaux, explique Pierre Cardo (UMP), premier vice-président de l'Association des maires ville et banlieue de France (1). Pour lui, les acteurs doivent se référer à « l'intérêt de l'usager ».
Selon le Conseil national des villes, la loi sur la prévention de la délinquance aurait engendré une « défiance » à l'égard des maires (2)... La loi a souhaité faire du maire le chef d'orchestre de la prévention de la délinquance, ce que je demandais depuis longtemps. Je ne crois pas qu'elle ait instauré une « défiance » à son égard. Elle existait déjà, tant du côté des travailleurs sociaux à l'égard des élus que l'inverse. Ce que l'on peut comprendre : certains maires considèrent qu'ils doivent tout savoir et certains travailleurs sociaux oublient que les édiles ont un devoir de réserve et qu'ils sont aussi au service des usagers. Pour ma part, j'ai toujours défendu l'idée que le maire ne devait pas…
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