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Gratification des stages : l'Aforts saisit le président de la République

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Alors que le projet de loi sur la formation professionnelle - qui prévoit d'abaisser de trois à deux mois la durée minimale des stages gratifiables - achève son parcours parlementaire, les inquiétudes des centres de formation sur le financement de cette disposition demeurent. Aussi l'Aforts a-t-elle décidé d'interpeller Nicolas Sarkozy.
Comment expliquer que, s'il annonce des mesures en faveur des jeunes (voir ce numéro pages 5 et 20), le gouvernement verrouille dans le même temps l'accès à la qualification des étudiants en travail social ? Comment expliquer qu'après avoir désorganisé le déroulement des études l'an dernier en accordant une gratification pour les stages de plus de trois mois, il enfonce le clou en l'accordant - toujours sans anticipation sur ses conséquences financières - dès la fin du deuxième mois ? C'est, en tout cas, une nouvelle année noire que s'apprêtent à gérer les centres de formation et les étudiants. En effet, la disposition qui abaisse de trois à deux mois la durée minimale de stage gratifiable, présentée dans le cadre de la proposition de loi du député (UMP) Frédéric Poisson (1), a été introduite par amendement…
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