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Un drame ravive les critiques sur les méthodes de la direction de la PJJ

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C'est un passage à l'acte que les syndicats de salariés de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) ont, au-delà de l'émotion suscitée, rattaché au contexte de restructurations et de réformes engagées par cette administration. La directrice départementale de la protection judiciaire de la jeunesse de Paris a, le 15 septembre, tenté de mettre fin à ses jours sur son lieu de travail, par défenestration. Pour le Syndicat national des personnels de l'éducation et du social (SNPES)-PJJ-FSU, l'événement « intervient dans un climat particulièrement oppressant » en raison d'objectifs découlant à la fois de la révision générale des politiques publiques, du projet stratégique national, qui recentre la PJJ sur l'activité pénale, et de la loi organique relative aux lois de finances. « Le contexte institutionnel, succession de bouleversements profonds mis en oeuvre dans le cadre de la réforme de l'Etat, pèse sur l'ensemble des personnels », souligne également l'UNSA-Syndicat de la protection judiciaire de la jeunesse (SPJJ). Cette organisation avait déjà, le 28 novembre dernier, publié une lettre ouverte sur la fonction de direction à la PJJ, évoquant une « absence d'élaboration collective…
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