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Mineurs isolés : le droit commun de la protection de l'enfance doit primer, plaide une note associative

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Cinq organisations ont, le 15 septembre, remis au ministre de l'Immigration une note « pour une application du droit commun dans la prise en charge des mineurs isolés étrangers en quête d'asile et de protection » (1), alors que le groupe de travail sur les mineurs isolés, installé en mai dernier par le ministère et réunissant associations, institutions et administrations, tarde à remettre ses conclusions. La Coordination française pour le droit d'asile, l'Association nationale d'assistance aux frontières pour les étrangers, Hors la rue, le Réseau éducation sans frontières et Défense des enfants International, qui s'inquiètent de la volonté du gouvernement de poursuivre un « système fondé sur la politique de contrôle des flux migratoires, au détriment de la protection de l'enfance en danger », réaffirment pour l'occasion des positions soutenues de longue date. Ces dernières avaient d'ailleurs nourri des contributions soumises au comité des droits de l'enfant de l'ONU, qui a dénoncé le non-respect par la France de la Convention internationale des droits de l'enfant dans le traitement réservé à ces mineurs. Les cinq organisations demandent donc de mettre fin au placement en zone d'attente…
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