Recevoir la newsletter

« AZF a mis en lumière le malaise du travail social »

Article réservé aux abonnés

Le 21 septembre 2001, à Toulouse, l'usine AZF explose. Dans le quartier du Mirail tout proche, des travailleurs sociaux, d'abord choqués, s'organisent pour aider les habitants. La sociologue Corinne Saint-Martin recueille alors leurs témoignages. Elle s'apprête à publier un ouvrage dans lequel elle analyse les conditions de cette intervention sociale en situation d'urgence. Et montre comment cette catastrophe a été révélatrice d'un malaise profond chez les professionnels de l'aide.
Qui sont les travailleurs sociaux dont vous avez recueilli les témoignages ? Il s'agissait de professionnels appartenant pour la plupart à des institutions publiques locales telles que le centre communal d'action sociale, la caisse régionale d'assurance maladie ou encore le conseil général. Ils intervenaient dans les quartiers composant le Grand Mirail, très proches du lieu de l'explosion. Celle-ci a eu lieu le vendredi 21 septembre 2001, et j'ai recueilli leurs témoignages, à chaud, de la fin octobre jusqu'au début janvier. Mon objectif était de pouvoir mettre en évidence les effets de contraintes et les contradictions dans lesquelles ils se sont retrouvés…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Rencontre

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur