«Pour la première fois, notre secteur connaît des suppressions sèches de postes. Une cinquantaine d'emplois d'éducateurs, de psychologues, de personnels d'encadrement et autres administratifs viennent de disparaître dans les services d'investigation du secteur associatif habilité [SAH]. Devant la réduction de leurs moyens, certains ont même dû fermer », s'alarme Jacques Le Petit, secrétaire général de la Fédération nationale des services sociaux spécialisés de protection de l'enfance (FN3S), qui rassemble quelque 140 services d'investigation (1). Et d'égrainer le long chapelet des événements ayant fait le lit de cette situation inédite, depuis la loi organique relative aux lois de finances, la
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