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APRÈS LA ZONZON. « On peut tourner la page mais on ne peut pas effacer son passé », regrette Christophe, en semi-liberté, qui recherche un emploi par le biais du dispositif justice « aménagement de peines -recherche d'emploi », mis en place par l'association Solidarité et jalons pour le travail (SJT). L'aménagement des peines est un outil privilégié de la réinsertion : la récidive est moins fréquente pour ceux qui bénéficient d'une semi-liberté, d'un placement extérieur ou d'un bracelet électronique. Sophie Knapp, journaliste à France Culture, a rencontré des détenus qui se retrouvent chaque jour à SJT, autour de Rachid Khaldoun, son responsable, et de Jean Carletto Bopoungo, chargé de mission entreprise-demandeurs d'emploi. Réunions de groupes, entretiens individuels, ateliers autour du CV et de l'entretien d'embauche, ces étapes se révèlent compliquées pour des personnes ayant été incarcérées et dont le parcours de vie antérieur était souvent déjà chaotique. « La période de semi-liberté permet une adaptation progressive au monde du dehors, de renouer avec l'environnement familial et avec une société qui a évolué pendant les mois ou les années que le détenu a passés sous les verrous…
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