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« LA GRATIFICATION CATALYSE LES DOUTES SUR L'UTILITÉ DU TRAVAIL SOCIAL »

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Adoptée le 9 juin en première lecture par les députés, la proposition de loi UMP « pour faciliter le maintien et la création d'emplois » qui ramène de trois à deux mois la durée de stage nécessaire pour avoir droit à une gratification devrait être examinée au Sénat en septembre. Pour Christian Chassériaud, président de l'Aforts (1), si aucun accompagnement financier n'était envisagé, la mesure mettrait « en péril la formation de 28 000 étudiants ».
Quel est votre état d'esprit avant le vote du Sénat ? L'an dernier, malgré l'impréparation du décret du 31 janvier 2008 prévoyant une gratification pour les stages de plus de trois mois, on a réussi tant que bien que mal, avec des tours de passe-passe, à faire fonctionner l'alternance. Mais c'est un acquis fragile et rien n'est gagné. Or on nous en remet une couche en réduisant à deux mois la durée des stages ouvrant droit à gratification, à nouveau sans prévoir de financement. Les étudiants qui sont montés au créneau l'an dernier n'y comprennent plus rien (2). Je vois dans cette impréparation une volonté politique d'affaiblir les professions sociales.…
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