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L'ANESM, une unité de façade ?

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En deux années d'exercice, l'ANESM a profondément modifié la donne du secteur social et médico-social. Présents au sein de l'agence, les représentants des professionnels, des usagers et des pouvoirs publics ont commencé à poser les bases d'une nouvelle culture partagée de l'évaluation. Pourtant, derrière le consensus, les doutes ne sont pas tout à fait épuisés sur la difficulté des professionnels à s'approprier les recommandations de bonnes pratiques et sur le contexte global dans lequel évolue l'agence.
Patrice Fleury est cadre intermédiaire dans un centre maternel de la proche banlieue parisienne. Un domaine d'activité qui cumule missions d'insertion d'un public de jeunes mères déboussolées et protection de l'enfance. Dans son secteur, les premières recommandations de bonnes pratiques professionnelles émises par l'Agence nationale de l'évaluation et de la qualité des établissements et services sociaux et médico-sociaux (ANESM) ont été perçues comme « intéressantes », mais « habillées » pour les grands établissements - « ce qui ne nous concernait que peu ou pas ». C'est la recommandation sur la mise en oeuvre de la bientraitance (1), présentée…
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