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Errance et handicap : la double peine

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En France, l'image traditionnelle des sans-abri n'est pas, comme aux Etats-Unis, celle d'anciens combattants en fauteuil roulant. Mais ici non plus, la grande exclusion n'épargne pas les personnes handicapées. Pour en savoir plus sur les moyens de remédier à ces situations mal connues, la DASS de Paris et l'association Handicap International ont engagé un important travail de réflexion. Celui-ci a débouché, à Lyon, sur une initiative pionnière de l'organisation humanitaire.
La relation entre errance et handicap est une relation à double sens. L'incurie de la vie à la rue est source de pathologies invalidantes et de déficiences. Symétriquement, il y a des personnes en situation de handicap qui, par exemple, à la suite d'une rupture familiale, se précarisent de façon brutale. Cela peut également être le cas de migrants handicapés venus de l'étranger dans l'espoir de se faire soigner et/ou d'obtenir l'asile. Quel que soit le rapport de causalité en jeu, « on voit de plus en plus, dans l'urgence sociale, des personnes qui, outre une grande souffrance psychique, présentent des incapacités sensori-motrices », observe Martine Buhrig, socio-anthropologue…
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