Recevoir la newsletter

...mais entend encore renforcer la protection des victimes

Article réservé aux abonnés

Son audition le 19 mai à l'Assemblée nationale a également été l'occasion pour la garde des Sceaux de présenter les grandes lignes d'un projet de loi visant à renforcer la protection des femmes face à certaines violences. Premier axe du projet : la lutte contre les mariages forcés. La création d'une infraction particulière en cas d'absence ou de vice du consentement des futurs époux « n'aurait pas de sens et pourrait être contre-productive [car] elle pourrait dissuader une victime d'agir », a expliqué Rachida Dati. En revanche, « commettre des violences pour contraindre à un mariage forcé me paraît être indiscutablement une circonstance aggravante », a-t-elle estimé. Le texte en préparation prévoit aussi de relever les sanctions encourues pour tous les meurtres, tous les actes de torture et toutes les violences perpétrés pour contraindre une personne à une union ou en représailles si cette dernière la refuse. La ministre de la Justice entend aussi proposer de consacrer dans le code pénal la notion de violences psychologiques. Enfin, elle souhaite alourdir les peines prévues contre les violeurs et les auteurs d'agressions sexuelles utilisant des produits pour soumettre leurs victimes…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Dans les textes

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur