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Les GEM doivent s'adresser aussi aux personnes cérébrolésées, plaide l'UNATFC

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Les traumatisés crâniens seraient-ils les grands oubliés de la politique du handicap ? Sans aucun doute, à en croire Jean Ruch, vice-président de l'Union nationale des associations de familles de traumatisés crâniens et cérébrolésés (UNAFTC) (1), qui constate que l'accès aux groupes d'entraide mutuelle (GEM) est très limité pour ces personnes. Créés dans le cadre de la loi « handicap » du 11 février 2005, ces espaces de type associatif s'adressent à toute personne en situation de souffrance psychique ou d'isolement et visent à permettre « le retour à la citoyenneté des personnes par une participation active à la vie de la cité » (2). Mais sur les 333 GEM financés début 2009, seuls huit sont destinés aux personnes « cérébrolésées ». Pourtant, ce dispositif est particulièrement adapté à ce handicap, qui concerne chaque année près de 10 000 personnes, victimes pour la majorité d'un accident de la route et dont la moyenne d'âge est de 27 ans. Selon les cas, celles-ci ont passé plusieurs jours à plusieurs mois dans le coma, gardent des séquelles invalidantes, parfois physiques mais surtout cognitives, et donc invisibles. Des troubles du comportement, de la mémoire, des difficultés spatio-temporelles…
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