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L'Anitea réservée sur les stages de sensibilisation aux dangers des drogues

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«Pourquoi ne pas profiter de la loi «hôpital» et de la mise en place des agences régionales de santé pour se mettre tous autour de la table et engager une vraie réflexion sur la question de la prévention de la consommation des drogues ? », s'interroge Nathalie Latour, déléguée générale de l'Association nationale des intervenants en toxicomanie et addictologie (Anitea). L'organisation réagit à nouveau au développement de stages de sensibilisation aux dangers de l'usage de produits stupéfiants, à l'occasion de la publication du Guide méthodologique par la Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie (MILDT) (1). Créés par la loi du 5 mars 2007 relative à la prévention de la délinquance (2), ces stages sont imposés par un magistrat aux consommateurs de stupéfiants qui ont fait l'objet d'une interpellation. Or l'Anitea déplore que ce dispositif ne concerne « que les usagers qui sont interpellés, ce qui laisse de côté de nombreuses personnes ». Par ailleurs, ces stages ne sont pas adaptés à tous les publics : les personnes désocialisées ou en situation précaire en sont exclues, ne serait-ce que parce que c'est à l'usager de les payer. L'organisation regrette…
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