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Le contrôleur général des prisons s'attaque à la question du travail en détention

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Lors de sa visite à la maison d'arrêt de Nice (Alpes-Maritimes) en novembre dernier, le contrôleur général des lieux de privation de liberté a pointé la vétusté et l'insalubrité de l'établissement pénitentiaire, vraisemblablement dues au retard des travaux d'amélioration du bâti. En cause, selon lui, la mauvaise gestion des ressources de l'Etat par les pouvoirs publics, attitude « d'autant moins recevable » qu'elle « met en cause la vie quotidienne, dans ce qu'elle a de plus élémentaire, de centaines de personnes » (1). Autre carence dénoncée : la « faiblesse actuelle du volume de travail », une situation « gravement préoccupante » qui se retrouve dans l'ensemble des établissements pénitentiaires. Aussi, dans une recommandation publiée au Journal officiel, Jean-Marie Delarue fait-il un certain nombre de propositions autour de la question du travail et de l'activité des détenus. En effet, sur les 429 détenus de la maison d'arrêt de Nice, 49 seulement étaient employés en qualité d'auxiliaires dans les services de l'établissement et 21 dans les ateliers. Autrement dit, environ 15 % de la population incarcérée était pourvue d'un « emploi » rémunéré. Et « on ne saurait évidemment retenir…
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