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« FACE À LA PRÉCARISATION DES JEUNES, IL FAUT VALORISER LES FAJ »

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Vingt ans après leur création, les fonds d'aide aux jeunes (FAJ) sont diversement mis en oeuvre par les conseils généraux depuis leur décentralisation en 2005. Tel est le bilan dressé par Patricia Loncle, enseignant-chercheur à l'Ecole des hautes études en santé publique (EHESP), à partir d'une étude réalisée auprès de six départements. Elle était entendue le 14 avril par la mission sénatoriale d'information sur la politique en faveur des jeunes (1).
Quel est le contexte de l'étude que vous avez réalisée ? Le FAJ a été mis en place en 1989 pour les jeunes de 16 à 25 ans, ces derniers étant exclus du revenu minimum d'insertion. Depuis janvier 2005 et les lois de décentralisation, il fait partie des compétences obligatoires des conseils généraux. Il permet d'attribuer différents types d'aides à un jeune en difficulté : un secours temporaire en cas de besoin urgent, une aide financière à la réalisation d'un projet d'insertion, des actions d'accompagnement dans le cadre d'une démarche d'insertion sociale (permis de conduire...). Dans la pratique, il concerne aussi bien les personnes très exclues…
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