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« Pendant trois ans... »

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C'est le récit d'une déception que livre ici Jeanne Labarthe-Vacquier. « Bourrage de crâne », « consensus mou », « niveau désespérément bas », le jugement qu'elle porte sur la formation d'assistant de service social qu'elle a suivie dans le cadre d'une reconversion professionnelle est sévère. D'où son souhait de voir le service social relever le défi de l'« ambition ».
«A 32ans, après huit ans d'exercice dans le privé comme documentaliste multimédia, j'ai décidé de reprendre mes études pour devenir assistante sociale. J'ai donc intégré une école parisienne de service social. Je me suis acheté descahiers, des feuilles, des classeurs, j'airéappris à écrire avec un stylo (depuis dix ans, tout passait par un clavier). Epuis j'ai attendu que «ça» commence. Et j'ai attendu trois ans... Rapidement j'ai compris que le savoir n'était pasvraiment l'enjeu de la formation, et que lesprincipales compétences à développer consistaient surtout en une formidable capacité d'adaptation. Pendant trois ans, j'ai souffert pour amorcer un décryptage des valeurs, des névroses, des codes et des espoirs de la profession d'assistant de service social. J'ai compris…
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