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Protection très relative

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Cette étude pointe les divergences radicales d'intervention, d'un Etat à l'autre, dans le secteur de la protection de l'enfance.
Vérité en deçà des Pyrénées, erreur au-delà ? En matière de protection de l'enfance, la relativité semble de mise. Tel est l'un des enseignements de ce recueil de contributions internationales. Il montre que, selon les pays, des choix d'intervention très différents peuvent être faits pour aider les enfants en difficulté. Les parents sont les premiers responsables, mais non les seuls, du bon développement de l'enfant. Autrement dit, en cas de risques encourus par ce dernier, c'est à la société de prendre le relais. Cette assertion de chercheurs néerlandais fait consensus. Mais laisse entière la question des modalités d'action. Comment déterminer l'intérêt supérieur de l'enfant quand ses parents sont défaillants ? Faut-il « sauver l'enfant de tels parents ou est-ce qu'il devrait être sauvé avec ses parents ? », interrogent Israël Zva Gilat et Schlomo Romi, deux contributeurs israéliens. Et, en particulier, « est-ce que les Etats peuvent [...] décider de mesures extrêmes comme le fait de retirer le mineur de sa famille…
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