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Le CNS « admet » qu'un test de dépistage du VIH puisse être pratiqué sur un majeur protégé sans son consentement

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Dans certaines circonstances exceptionnelles, un test de dépistage du VIH peut être pratiqué sans le consentement d'un majeur protégé, indique le Conseil national du sida (CNS) dans une note « valant avis » du 12 mars. Objectif : concilier le droit au consentement du patient et l'intérêt des personnes victimes d'un accident d'exposition au sang (AES), c'est-à-dire éviter un inutile traitement post-exposition contraignant et engendrant des effets secondaires. En principe, explique le CNS, lorsque le personnel soignant d'un établissement médico-social est victime d'un AES (piqûres, griffures ou morsures sévères de la part d'un résident), un test de dépistage doit être proposé à la personne source pour connaître dans les plus brefs délais son statut sérologique et proposer, le cas échéant, un traitement post-exposition au personnel soignant. Dans la plupart des cas, le test ne peut être réalisé car les résidents ne peuvent y consentir en raison d'un handicap lourd ou parce qu'ils sont placés sous sédatif. Le conseil rappelle tout d'abord qu'aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne, y compris les majeurs protégés,…
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