Recevoir la newsletter

Réforme des SPIP : le Snepap demande l'ouverture du protocole d'accord à la signature, la CGT refuse le texte

Article réservé aux abonnés

Dans un courrier adressé à la garde des Sceaux, Rachida Dati, le Snepap (syndicat national de l'ensemble des personnels de l'administration pénitentiaire)-FSU demande à la ministre de la Justice « un geste fort » en direction des personnels des services pénitentiaires d'insertion et de probation (SPIP), dont la réforme du statut a débuté en juin 2008. Le 5 mars dernier, un projet de protocole d'accord final a été présenté aux trois organisations syndicales (Snepap-FSU, CGT-Interco, CGT-pénitentiaire), mais seul le Snepap s'est prononcé en faveur de sa signature (1). Pour autant, le protocole n'est toujours pas ouvert à la signature, alors que la direction de l'administration pénitentiaire « assure que ce projet est avalisé par les directions concernées », déplore le Snepap. Et ce dernier de pointer les conséquences de ce retard : perspectives de revalorisation repoussées, incompréhension et impatience chez les professionnels. Ce protocole est, pour lui, « un compromis » qui acte « d'une réforme statutaire importante pour la filière insertion-probation » et marque « une évolution historique et légitime pour son corps de base, les conseillers d'insertion et de probation…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Sur le terrain

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur