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Restructuration de l'INJEP : les personnels dénoncent un semblant de concertation

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«L'INJEP [Institut national de la jeunesse et de l'éducation populaire] ne disparaîtra pas. Il restera bien un établissement public administratif autonome placé sous la tutelle de la direction de la jeunesse, de l'éducation populaire et de la vie associative », affirme Martin Hirsch, dans une lettre adressée il y a une quinzaine de jours à tous les agents de l'établissement. Le Haut Commissaire à la jeunesse annonce également qu'un nouveau directeur sera nommé « à une échéance aussi rapprochée que possible » (l'intérim étant assuré depuis le 16 février par le directeur adjoint). Mobilisé depuis de nombreux mois contre ce qu'il appelle « la mort de l'institut », depuis la réduction brutale par l'Etat de la dotation allouée aux personnels de l'établissement (1), le collectif « Que vive l'INJEP » - qui rassemble les syndiqués du SEP-UNSA et du SGEN-CFDT, des non-syndiqués et des partenaires extérieurs - n'en reste pas moins inquiet. Les orientations décidées avant la reprise en main par Martin Hirsch de ce dossier restent inchangées. L'établissement sera recentré sur les fonctions d'observation, d'évaluation et de diffusion des connaissances sur les politiques de jeunesse et sa mission…
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