« Sommet social » : 2,6 milliards d'euros sur la table pour atténuer les effets de la crise
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Publié le : Dernière Mise à jour : 01.08.2017Lecture : 6 min.
Prime pour les chômeurs non indemnisés, création d'un fonds d'investissement social, allégement d'impôt sur le revenu pour certains ménages, prime pour les familles modestes ayant des enfants scolarisés... A l'issue du « sommet social » du 18 février, le chef de l'Etat a annoncé une série de « mesures de justice » destinées à venir en aide aux premières victimes de la crise. Leur coût : 2,6 milliards d'euros, selon l'Elysée. Pour les syndicats, « le compte n'y est pas ».
«Nous sortirons de la crise [...] en misant tout sur l'investissement, sur la réforme, sur le travail, pas en embauchant davantage de fonctionnaires ou en rétablissant l'autorisation administrative de licenciement », a insisté le président de la République à la télévision, à l'issue d'un « sommet social » avec les partenaires sociaux, le 18 février. « Nous ne nous en sortirons pas non plus en augmentant massivement le SMIC », a-t-il ajouté, confirmant le cap qu'il a fixé au gouvernement depuis le début de la crise. Mais dans la continuité de son intervention radiotélévisée du 5 février (1), Nicolas Sarkozy a aussi annoncé une batterie de mesures sociales et fiscales pour soutenir…
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