Publié le : Dernière Mise à jour : 03.08.2017Lecture : 2 min.
Un projet de circulaire d'orientation sur les activités de jour, adopté en comité technique paritaire de la protection judiciaire de la jeunesse le 4 février, fait diversement réagir l'UNSA- SPJJ (Syndicat de la protection judiciaire de la jeunesse) et le SNPES (Syndicat national des personnels de l'éducation et du social)-PJJ-FSU. Le texte définit le contenu et l'organisation de cette mesure, destinée à s'exercer dans les domaines « du développement personnel et de l'acquisition de compétences sociales, scolaires et professionnelles » (1). Selon ce projet, l'activité de jour devrait désormais structurer l'ensemble des prises en charge et être mise en oeuvre dans les unités éducatives de milieu ouvert, les unités éducatives d'hébergement collectif ou les unités éducatives d'activité de jour (UEAJ). Ces dernières devant être composées d'une équipe pluridisciplinaire et comporter 24 places. « Seules 40 UEAJ correspondant à cette norme de capacité d'accueil, l'état des lieux présenté par l'administration nous faisait craindre la disparition d'une centaine d'unités, explique Bertrand Rouis, secrétaire général du SPJJ. Il nous paraissait inadmissible de voir disparaître une partie importante…
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