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« Le Planning familial reste essentiel »

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Menaces sur le financement du Planning familial, difficultés d'accès à l'IVG, pression sociale sur les filles des banlieues... Si des progrès ont été réalisés depuis vingt ans en matière d'information sexuelle, notamment pour la prévention du sida, la sexualité des femmes, en particulier dans les milieux défavorisés, reste semée d'embûches.
Le Mouvement français pour le planning familial fait état de fortes inquiétudes sur le financement de ses consultations. Pensez-vous que l'on assiste à un désengagement de l'Etat en matière d'information et de prévention sur la sexualité ? On observe en tout cas clairement un désengagement en ce qui concerne le Planning familial. Et ce sont les jeunes filles les plus précaires, les plus déshéritées sur le plan social, qui seront les premières pénalisées. Pour elles, il est souvent très difficile d'aller consulter un médecin. Ne serait-ce que parce qu'elles doivent demander de l'argent à leurs parents pour payer la consultation et que, pour certaines, il est impossible d'avouer qu'elles ont eu des relations sexuelles. En revanche, si elles vont au Planning familial, c'est gratuit, anonyme, et personne…
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