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Justice des mineurs : le SNPES-PJJ n'entend pas baisser la garde

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Le mouvement a été plus faible que celui du 15 décembre, sans doute concurrencé par le mouvement interprofessionnel du 29 janvier prochain (1), bien qu'il ait permis « une mobilisation dynamique », selon son instigateur, le SNPES (Syndicat national des personnels de l'éducation et du social)-PJJ-FSU. Près de 19 % des éducateurs de la protection judiciaire de la jeunesse (selon l'administration et le SNPES) étaient en grève le 15 janvier à l'appel du syndicat majoritaire de la profession, rejoint dans certaines régions par d'autres organisations. Motif de la grogne : la future réforme de la justice des mineurs, sur la base des recommandations de la commission Varinard, mais surtout dans l'immédiat le recentrage de la PJJ sur l'activité pénale, source de « démantèlement » de ses missions. Ajoutée à une mise en oeuvre « draconienne » de la révision générale des politiques publiques, cette orientation se traduirait, selon le syndicat, par la suppression de plusieurs centaines de postes. « Nous n'avons pas reçu de réponses suffisantes de l'administration pour cesser le mouvement », indique Maria Inès, secrétaire nationale de l'organisation syndicale. Le syndicat appelle de nouveau à la…
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