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Frappés par la crise, 56 % des ménages pauvres ne disposent plus que de 250 € par mois

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Les ménages les plus pauvres subissent de plein fouet les effets de la récession économique. Anticipé par les associations (1), ce douloureux constat est confirmé par la première enquête globale sur les conséquences de la crise sur les ménages, renouvelable tous les trois mois. Inscrites dans le système de veille mis en place par Martin Hirsch, Haut commissaire aux solidarités actives contre la pauvreté, pour repérer les phénomènes émergents en matière de précarité (2), cette enquête réalisée par le Credoc (centre de recherche pour l'étude et l'observation des conditions de vie) (3), révèle que 56 % des ménages pauvres, une fois payées toutes les dépenses fixes (loyers, charges, énergie, crédit, téléphone...), ne disposent plus que de 250 € par mois. 43 % d'entre eux déclarent avoir eu des difficultés à payer leurs factures au cours des trois derniers mois. Pour s'en sortir, 60 % ont changé leurs habitudes alimentaires en diminuant leur consommation de viande et de poisson, de fruits et de légumes ou en sautant plus souvent des repas. Les plus pauvres se restreignent « significativement plus » que les autres sur les soins médicaux (31 %), en renonçant aux soins dentaires ou à une consultation…
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