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« Développement du pouvoir d'agir » : effet de mode ou ressourcement salutaire ?

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Déstabilisés par leur sentiment d'impuissance, les travailleurs sociaux s'interrogent sur la finalité de leurs pratiques. Et s'ils reconsidéraient leur rôle pour ne plus être seulement des accompagnants, mais des acteurs de la transformation sociale ? Certains prônent ainsi le « développement du pouvoir d'agir », une approche québéquoise qui « élargirait le champ des possibles ». Intérêt et limites de la démarche.
Le paradoxe ne fait que s'amplifier. Parallèlement à l'inflation législative et réglementaire censée répondre à la massification des besoins sociaux, le sentiment d'impuissance des professionnels de l'action sociale augmente. Au lieu de pouvoir offrir des solutions adaptées et durables, ces derniers se voient de plus en plus cantonnés à un rôle de gestionnaires de files d'attente, enfermés dans une logique de prestations et de dispositifs, sur fond de tension budgétaire et de pression au rendement. Certaines notions qui irriguent désormais les politiques sociales, comme la responsabilisation individuelle, le contrôle, le repérage, heurtent de surcroît leurs références professionnelles, quand elles ne les placent pas devant des injonctions…
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