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Centres éducatifs fermés : les recommandations du ministère de la Justice pour « optimiser » la prise en charge des mineurs

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Selon la chancellerie, « plus de 61 % des mineurs passés en centres éducatifs fermés [CEF] ne sont plus impliqués dans une affaire pénale dans l'année qui suit la fin de leur placement » (1). Pour « optimiser ces résultats », la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) et celle des affaires criminelles et des grâces diffusent à leurs services déconcentrés et aux magistrats une circulaire visant à améliorer la prise en charge des mineurs placés dans ces structures, dont les missions sont détaillées en annexe dans un cahier des charges. L'administration donne notamment des consignes sur la gestion des places en CEF, une question qui n'est certes pas propre à ces structures mais qui « revêt dans ce cadre une acuité particulière compte tenu de la personnalité et du parcours des mineurs concernés ». « Toute absence d'un mineur supérieure à 48 heures (fugue, hospitalisation, retour en famille) ne peut donner lieu au versement d'un prix de journée », précise la circulaire. Ajoutant que « s'il est souhaitable de maintenir la place d'un mineur qui fait l'objet d'une hospitalisation ou d'une incarcération en prévision de sa prochaine sortie ou libération en raison de sa personnalité…
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