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Le plan de relance manque d'ambition sociale, jugent les associations

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Pour les organisations préoccupées par le sort des plus modestes, le plan de relance présenté le 4 décembre par Nicolas Sarkozy (voir ce numéro, page 5) laisse un goût amer. Le plan est globalement critiqué pour la faiblesse de ses mesures destinées à gonfler le pouvoir d'achat des ménages. Sur les 26 milliards d'euros promis, seule une petite partie, soit 750 millions d'euros pour la « prime de solidarité active », tombera dans les poches des ménages en difficulté. Un coup de pouce (de 200 € ) qui « ne remplace pas une revalorisation des minima sociaux », estime François Soulage, président du Secours catholique. Déception aussi à propos des annonces qui concernent la lutte contre la grande pauvreté - un saupoudrage de mesures, aux yeux des associations, qui espéraient un plan global (1). Le programme de 160 millions d'euros pour les centres d'hébergement et l'intermédiation locative, assorti de l'ouverture d'une discussion avec les associations sur « la mise à l'abri obligatoire », laisse aussi les acteurs de la lutte contre l'exclusion dubitatifs. En pleine polémique lancée après les déclarations de Christine Boutin, qui recommandait un hébergement « forcé » en période de grand…
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