Recevoir la newsletter

L'ANAS livre son « analyse critique » de la mesure d'accompagnement social personnalisé

Article réservé aux abonnés

En janvier prochain, la mesure d'accompagnement social personnalisé (MASP) (1) entrera en vigueur. Inscrite dans la loi du 5 mars 2007 réformant la protection juridique des majeurs, cette mesure « impacte de façon très importante » les relations qu'entretiennent les professionnels et les personnes qu'ils reçoivent, juge l'ANAS (Association nationale des assistants de service social) (2), qui propose une « analyse critique » de cette mesure. C'est d'abord sur la question du public pouvant se voir proposer une MASP que s'arrête l'association. Elle met en garde contre la « réponse facile » que pourrait constituer cette mesure dans les cas de retard dans le paiement du loyer. Dans le contexte économique et social actuel, cette situation n'est pas « systématiquement synonyme » d'une difficulté de la personne à assurer la gestion de ses ressources. Par ailleurs, dès lors qu'un « risque de danger pour la sécurité et la santé » en raison d'un problème de gestion sera repéré, une personne pourra se voir proposer la MASP. Or « où commence ce risque de danger ? », s'interroge l'ANAS, qui craint de voir émerger une « étiquette MASP », réduisant la personne à son incapacité réelle ou supposée.…
La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

LE SOCIAL EN ACTION

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client 01.40.05.23.15

par mail

Recruteurs

Rendez-vous sur votre espace recruteur.

Espace recruteur