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Crise économique : les associations refusent d'être les « régulateurs » de la hausse de la pauvreté

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Après avoir alerté Martin Hirsch au début du mois, les associations du collectif Alerte ont, le 28 novembre, publiquement tiré la sonnette d'alarme : les indicateurs de la précarité, déjà dans le rouge, s'aggravent avec la crise économique. Aux pouvoirs publics, aux entreprises et aux partenaires sociaux de prendre leurs responsabilités pour protéger les plus faibles. « Il y a encore quelques mois, il ne fallait pas présenter les pauvres comme des victimes, ils étaient responsables de leur situation, disqualifiés, traités d'assistés. Aujourd'hui, les économistes sont disqualifiés, les banquiers assistés. Les associations ne veulent pas être les régulateurs de la seule croissance prévue : celle de la pauvreté », a ironisé Olivier Brès, président du collectif Alerte.Retour en arrièreLes témoignages (1), étayés par des chiffres, prouvent en effet que les secousses de la débâcle financière malmènent les plus modestes. Médecins du monde, qui tiendra compte de cet aspect dans son observatoire de l'accès aux soins, a interrogé cinq de ses principaux centres d'accueil et de soins et d'orientation (CASO), à Strasbourg, Bordeaux, Paris, Marseille et Toulouse. Résultat : le « poste santé » est…
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