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La France réprimandée sur les droits de l'Homme : un dialogue de sourds ?

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Que la France soit une nouvelle fois épinglée par le commissaire aux droits de l'Homme du Conseil de l'Europe, Thomas Hammarberg (voir ce numéro, page 15), ne surprend guère les spécialistes des politiques pénales et pénitentiaires, ni ceux qui défendent les droits des étrangers. Ces derniers s'insurgent cependant contre « la mauvaise foi » de la France, dont les réponses augurent une nouvelle fois d'une fin de non-recevoir aux recommandations de l'instance, qui pourtant rejoignent leurs revendications. Ainsi, l'Observatoire international des prisons (OIP), à l'instar du Syndicat de la magistrature, s'étonne que le gouvernement, dans une « attitude de déni », mette en avant la nécessité d'augmenter le nombre de places en prison et la préparation du projet de loi pénitentiaire, pourtant critiqué par le commissaire du Conseil de l'Europe. L'organisation appelle le gouvernement et le Parlement à changer de perspective et à mettre en oeuvre les mesures immédiates réclamées par Thomas Hammarberg pour résorber la population carcérale. Pour elle, le volet sur les alternatives et les aménagements de peine du projet de loi pénitentiaire doit être inscrit « au plus vite » au calendrier parlementaire…
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