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Cri d'alarme contre l'abandon par la PJJ de son activité au civil

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A quelques semaines des conclusions de la commission Varinard chargée de placher sur la réforme de l'ordonnance du 2 février 1945, plusieurs organisations, dont le SNPES (Syndicat national des personnels de l'éducation et du social)-PJJ-FSU, le Syndicat de la magistrature, l'Association française des magistrats de la jeunesse et de la famille (AFMJF), la CGT-PJJ et le SNU-CLIAS (1)-FSU, s'alarment de la remise en cause de la double compétence de la justice des mineurs, au pénal et au civil. Après, en 2004, la tentative avortée d'expérimenter la décentralisation de la mise en oeuvre des mesures d'assistance éducative (2), puis, en septembre 2007, de scinder les fonctions pénales et civiles du juge des enfants (3), ils s'inquiètent cette fois des orientations de la direction de la protection judiciaire de la jeunesse (PJJ). Dans son « projet stratégique national 2008-2011 », cette administration prévoit en effet un « recentrage » du service public de la PJJ sur l'activité pénale (4), dans l'optique d'une clarification des rôles entre les missions de l'Etat et celles des conseils généraux, chefs de file de la protection de l'enfance depuis la loi du 5 mars 2007. Décision clairement…
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