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Les associations accusent l'Etat de « sous-estimer » l'ampleur de la crise

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Un « dialogue de sourds », selon les associations. Après avoir dénoncé, le 17 septembre, la faiblesse des mesures prises par l'Etat pour améliorer le sort des mal-logés (1), le collectif « pour une nouvelle politique publique du logement » est ressorti, le même jour, déçu de sa rencontre avec le Premier ministre. Les 250 millions promis en janvier dernier ont bien été « délégués aux préfets et aux organismes chargés de mettre en oeuvre » le chantier en faveur des sans-abri et des mal-logés, a assuré François Fillon, en réponse à certaines associations selon lesquelles une partie de ces crédits n'est pas encore accessible. D'après le cabinet de la ministre du Logement, 22 % des mesures proposées dans le rapport du député Etienne Pinte (UMP, Yvelines) ont été réalisées. 76 % sont en voie de l'être et 2 % n'ont pas été engagées. Si des actions sont mises en oeuvre, notamment pour l'humanisation de l'hébergement, « on est encore dans une gestion assez tranquille d'une politique qui reste classique. Or nous attendions que l'on mobilise fortement les préfets, qu'on leur demande des résultats », nuance Nicole Maestracci, présidente de la FNARS (Fédération nationale des associations d'accueil…
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