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Participation des usagers à l'évaluation : sortir de l'incantation

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Dans les discours, pas de doute : les usagers doivent être associés à l'évaluation interne. Mais dans les faits... Michel Monbeig, docteur en sociologie et directeur du département des formations supérieures à l'Institut du travail social Pierre-Bourdieu de Pau, se penche sur les obstacles à une réelle démocratisation du processus.
« Depuis quelques mois, la mise en oeuvre de l'évaluation interne et la possible participation des usagers à ce processus agite le microcosme du secteur du travail social. La plupart des publications attribuent à l'évaluation interne des qualités essentielles, que l'on peut qualifier de «consubstantielles» : elle doit entraîner un renouveau dans le secteur du social en actes, voire, pour les plus optimistes, une «démocratisation» permettant que les organisations et les décisions soient mieux partagées, expliquées, comprises et fondées sur le consensus. La participation de l'usager (ou de son représentant) est l'enjeu central de ce processus démocratisant. Or celui-ci semble quelque peu dans l'impasse car, paradoxalement, la démocratisation souhaitée par les professionnels semble s'accompagner de l'exclusion des…
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