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Les associations habilitées à intervenir dans les centres de rétention devront faire preuve de « discrétion »

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Alors que la convention triennale liant la Cimade à l'Etat arrive à échéance en décembre prochain, le ministère de l'Immigration se prépare à mettre fin à la situation de monopole occupée par l'association au sein des centres de rétention administrative. Une première étape avait été franchie avec la parution, le 23 août dernier, d'un décret lui permettant de « passer une convention avec une ou plusieurs personnes morales » ayant pour mission d'informer les étrangers placés dans un centre ou un local de rétention et de les aider à exercer leurs droits (1). Une seconde phase s'ouvre aujourd'hui avec la publication d'un appel d'offres qui fixe les critères d'attribution de ce nouveau marché (2)... et qui, tout comme le décret, soulève l'inquiétude de la Cimade (voir ce numéro, page 48). A partir du 1er janvier 2009, les 22 centres de rétention seront ainsi répartis en huit « lots » géographiques, chaque lot comprenant de trois à cinq établissements. Précision importante : les personnes morales candidates pourront soumettre des offres et être attributaires de « un ou plusieurs lots ». Pour mémoire, le décret prévoit que les prestations d'information des étrangers retenus ne seront…
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